La franc-maçonnerie : une secte diabolique !

« La franc-maçonnerie est une invention juive pour détruire l’Eglise »

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La Franc-maçonnerie, qui généra toutes les révolutions, a toujours été dénoncée par les papes comme une entreprise travaillant à la destruction du catholicisme. [1] La franc-maçonnerie est le grand ennemi de l’Eglise et de la civilisation, de l’ordre surnaturel et de l’ordre naturel. Ennemi pire que ne le fut le communisme, puisqu’il était orchestré par la maçonnerie.

Mais qui se trouve derrière la Franc-maçonnerie ? Pour éclaircir ce point, rien ne vaut l’ouvrage du jésuite Mgr Léon Meurin, ancien évêque de Port-Louis. C’est un livre extraordinaire, certainement le meilleur jamais écrit sur la maçonnerie. Que dit Mgr Meurin? Il écrit ceci :

« La maçonnerie est une invention juive pour détruire l’Eglise, une invention juive construite sur la base de la cabale. » (Mgr Meurin, Philosophie de la maçonnerie, éd. Nos, Madrid, 1957).

I. La maçonnerie, une hérésie antichrétienne

Depuis que l’Église a commencé à se prononcer à l’égard de la franc-maçonnerie, son jugement négatif s’est inspiré de multiples raisons, pratiques et doctrinales. Elle a jugé que la franc-maçonnerie était non seulement responsable d’exercer une activité subversive à son égard mais, depuis les premiers documents pontificaux en la matière et en particulier dans l’encyclique Humanum genus de Léon XIII (20 avril 1884), le magistère de l’Église a dénoncé dans la franc-maçonnerie des idées philosophiques et des conceptions morales opposées à la doctrine catholique. Pour Léon XIII, elles se ramenaient essentiellement à un naturalisme rationaliste, inspirateur de ses plans et de ses activités contre l’Église.

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« Il faut frapper de condamnation et exterminer comme d’un glaive
cette secte respirant le crime et s’attaquant aux choses saintes »
– Pie IX –

Pie IX soulignera :

« Parmi les nombreuses machinations et les moyens par lesquels les ennemis du nom chrétien ont osé s’attaquer à l’Église de Dieu et ont essayé, quoiqu’en vain, de l’abattre et de la détruire, il faut sans doute compter cette société perverse d’hommes, vulgairement appelée « maçonnique », qui, contenue d’abord dans les ténèbres et l’obscurité, a fini par se faire jour ensuite, pour la ruine commune de la religion et de la Société humaine. Dès que Nos prédécesseurs les Pontifes Romains, fidèles à leur office pastoral, eurent découvert ses embûches et ses fraudes, ils ont jugé qu’il n’y avait pas un moment à perdre pour réprimer par leur autorité, frapper de condamnation et exterminer comme d’un glaive cette secte respirant le crime et s’attaquant aux choses saintes comme aux choses publiques. » (Pie IX, Multiplices inter, 1865).
Au début du XVIIIe siècle, alors que les Lumières font naître des funestes idées subversives, la franc-maçonnerie spéculative qui se répand inquiète l’Eglise : pour la papauté c’est une hérésie et une conjuration. Mais cette conjuration hérétique est dirigée par des maîtres secrets que l’Eglise identifiera très vite comme étant les Juifs. En effet, la raison d’être des Juifs est la destruction de l’Eglise. Cela ressort naturellement et saint Paul l’a exprimé en des termes définitifs : « Ces Juifs qui ont mis à mort le SEIGNEUR JESUS et les Prophètes et nous persécutent nous-mêmes, qui ne plaisent pas à DIEU, et sont contre tous les hommes ; qui empêchent qu’on parle aux gentils et qu’on leur procure le salut. » (Première Lettre de Saint Paul aux Thessaloniciens, II, 15-16.)

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L’idéologie maçonnique est une interprétation démoniaque de la cabale (ou kabbale)

Voilà qui résume la tâche des Juifs à travers l’histoire chrétienne [2].

Il serait erroné de penser aujourd’hui que le livre des Juifs est la Bible. Leur livre est le Talmud, et l’âme du Talmud est la cabale. La cabale est le grand instrument secret des Juifs contre l’Eglise et contre le monde chrétien. La cabale a pu être la tradition authentique des Juifs, mais aujourd’hui, elle a perdu sa vertu et elle est un instrument de perdition. La cabale informe la maçonnerie qui est une institution cabalistique. C’est là la grande démonstration du livre de Mgr Meurin. Il y a donc une interprétation judéo-maçonnico-démoniaque de la cabale.

II. La cabale judéo-maçonnico-démoniaque

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Mgr Meurin démontre que la maçonnerie recueille les erreurs des vieux cultes païens de Zoroastre, du brahmanisme, du bouddhisme, des Syriens et des Babyloniens, des Chaldéens, d’Hermès Trismégiste, du gnosticisme, du manichéisme. Elle les recueille parce qu’elle les trouve dans la cabale. La cabale est aussi un mélange de toutes les vieilles religions païennes. La maçonnerie est aussi un mélange de tous les cultes païens. Mais la cabale est surtout la divinisation de l’homme juif et l’intronisation de Satan.

La Franc-maçonnerie est à notre siècle ce qu’a été le protestantisme au seizième, ce qu’a été l’arianisme au quatrième. C’est la grande secte antichrétienne, qui résume en elle toutes les forces vives de l’impiété, du rationalisme, de la libre pensée, de la fausse science, de la fausse politique, de la fausse bienfaisance; en un mot, de toutes les erreurs modernes et révolutionnaires. La Franc-maçonnerie, c’est l’organisation universelle de la Révolution, c’est-à-dire de l’antichristianisme :

« Depuis plus de cinq cents ans, le grand instrument des Juifs est la franc-maçonnerie. Qu’est-elle ? C’est une armée de mercenaires, ou plutôt de traîtres et d’esclaves, que le peuple juif lève dans toutes les nations, pour l’aider à tout révolutionner à son profit, et finalement à les asservir. Tout est juif dans la franc-maçonnerie… Le malheureux européen, américain, asiatique ou africain que le Juif fait entrer dans la loge, n’entend parler que des Juifs. Le Juif Hiram, dont il doit venger la mort ; le Juif Salomon, dont il doit reconstruire le temple ; la captivité de Babylone où il n’a rien à voir ; Assuérus, faisant de Mardochée son premier ministre ; Abraham, Judith, Esther, la fontaine de Siloé, Zorobabel, Adonaï, le passé, le présent, l’avenir d’Israël ne cessent de retentir à son oreille. Les Juifs, nos maîtres, nous défendent d’enseigner l’histoire sainte à nos enfants ; mais ils ne font que la raconter, – à leur manière, il est vrai — au franc-maçon stupide. Les titres eux-mêmes, quand ils ont une signification précise, ne rappellent que la patrie de ces Juifs, qui ont l’audace de se dire nos compatriotes et de crier par la bouche de leurs rabbins qu’ils sont plus Français que nous. Le goï est salué par les fils de Jacob des titres pompeux de chevalier d’Orient, prince de Jérusalem, grand pontife de Jérusalem, prince du Liban, chef du Tabernacle de Jérusalem, chevalier du serpent d’airain, souverain commandeur du temple, etc., etc. Le terme même de chevalier Kadosch est juif. Si le franc-maçon examine les symboles, les cérémonies, les vêtements, les dispositions mêmes de la loge, tout lui parlera des Juifs, ses maîtres, comme à un pauvre esclave dans la maison de son tyran. Les deux colonnes à l’entrée de la loge, Jakim et Boaz, représentent, disent les vénérables, Israël et Juda, l’union des deux royaumes. Et le but de la maçonnerie, n’est-il pas absolument juif ? Le but religieux de la secte : la destruction du christianisme et de toute religion autre que la magie n’est-elle pas ordonnée au peuple par les rabbins dans la Cabale ? Renier le Christ, marcher sur la croix, profaner les saintes Hosties, ces idées qui forment le fonds religieux des sectes juives, gnostiques, manichéennes, albigeoises, maçonniques, n’est-ce pas l’oeuvre du Juif déicide, qui chaque année au Vendredi-saint, dans sa rage de maudit, fouette le Christ sur sa croix ? Que pourrait faire le Christ, après tout, à un libre penseur ordinaire ? Le but politique de la secte est de détruire les empereurs, les rois, les frontières, afin d’établir sur les ruines des empires un gouvernement absolu, unique, universel. Mais c’est le but même d’Israël depuis trois mille ans ! Son organisation, comme son esprit, est toute juive. » (Abbé Barbier, Les infiltrations maçonniques dans l’Eglise, Société Saint-Augustin, Desclée De Brouwer, 1910, p. 125).

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« la Franc-maçonnerie ourdit dans le monde entier, une vaste conspiration

dont le but final est de détruire le règne de JESUS-CHRIST sur la terre »

Comme l’écrit Mgr Gaume :

« Depuis un siècle et demi, la Franc-maçonnerie ourdit dans le monde entier, mais principalement en Europe, une vaste conspiration dont le but final, déjà à moitié atteint, est de détruire le règne de JESUS-CHRIST sur la terre, en renversant, d’un côté la Papauté, tant spirituelle que temporelle, et, de l’autre, la monarchie chrétienne, bras droit de la Papauté. Elle prépare ainsi directement les voies de l’Antéchrist. » ( Mgr Gaume, Le dogme de l’infaillibilité, 1871)

III. L’agent principal de la Révolution

Le principal agent de la Révolution fut désigné, par les penseurs contre-révolutionnaires et surtout par le Magistère Ecclésiastique, comme étant la judéo-maçonnerie. Et il faut dire que c’est dans les cénacles secrets qu’ont été forgées les idées de la Révolution, faisant que lors de la Commune de Paris, les bannières maçonniques furent plantées sur les barricades, alors que ceux qui menaient le peuple et incitaient à incendier les églises et tuer les évêques et les prêtres, étaient tous francs-maçons ; ceci sans même parler de la IIIe République anticléricale de Jules Ferry, ses écoles laïques et la scandaleuse affaire des fiches et son entière implication dans la loi de 1905.

Léon XIII résuma parfaitement le dessein occulte de la secte :

« Or, que ces doctrines soient professées par les francs-maçons, que tel soit pour eux l’idéal d’après lequel ils entendent constituer les sociétés, cela est presque trop évident pour avoir besoin d’être prouvé. Il y a déjà longtemps qu’ils travaillent à le réaliser, en y employant toutes leurs forces et toutes leurs ressources. Ils frayent ainsi le chemin à d’autres sectaires nombreux et plus audacieux, qui se tiennent prêts à tirer de ces faux principes des conclusions encore plus détestables, à savoir le partage égal et la communauté des biens entre tous les citoyens, après que toute distinction de rang et de fortune aura été abolie. Les faits que Nous venons de résumer mettent en une lumière suffisante la constitution intime des francs-maçons et montrent clairement par quelle route ils s’acheminent vers leur but. Leurs dogmes principaux sont en un si complet et si manifeste désaccord avec la raison qu’il ne se peut imaginer rien de plus pervers. En effet, vouloir détruire la religion et l’Eglise, établies par Dieu lui-même et assurées par lui d’une perpétuelle protection, pour ramener parmi nous, après dix huit siècles, les moeurs et les institutions des païens, n’est-ce pas le comble de la folie et de la plus audacieuse impiété? (Léon XIII, Lettre Encyclique Humanum genus, 1884).

Il rajoutait :

« Les francs-maçons ont toujours à la bouche les mots de « liberté » et de « prospérité publique ». A les en croire, c’est l’Eglise, ce sont les souverains qui ont toujours fait obstacle à ce que les masses fussent arrachées à une servitude injuste et délivrées de la misère. Ils ont séduit le peuple par ce langage fallacieux et, excitant en lui la soif des changements, ils l’ont lancé à l’assaut des deux puissances ecclésiastique et civile. » (Léon XIII, Humanum genus, 1884)

Conclusion

De même que l’Église catholique est l’organisme universellement chargé d’apporter l’Évangile à l’humanité, la franc-maçonnerie est l’organisme s’efforçant de priver du Christ les âmes et les sociétés. Le danger est si grand que dans une lettre de 1892 au peuple italien, le pape Léon XIII avertissait les catholiques qu’ils devaient éviter la franc-maçonnerie, sous peine de « rester séparés de la communion chrétienne et de perdre leur âme maintenant et pour l’éternité ». Dix ans après, il déclarait : « La franc-maçonnerie est la personnification permanente de la Révolution, dont l’unique raison d’être est de faire la guerre à Dieu et à Son Église ».

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La franc-maçonnerie est la personnification de la Révolution,

dont l’unique raison d’être est de faire la guerre à Dieu et à Son Église.

Si la franc-maçonnerie a été un combattant aussi formidable, cela tient à une raison principale. Loin d’être une simple hérésie, elle est un ensemble complexe d’hérésies qui a réussi à rassembler les forces anticatholiques du monde entier pour les amener à lutter ensemble contre le Christ et Son Église

Source

Notes :

1. La franc-maçonnerie a notamment été dénoncée par :

Clément XII, encyclique In Eminenti, 1738 (« constitution valable à perpétuité »);

Benoît XIV, encyclique Providas,

Pie VII, Ecclesiam a Jesu Christo, 1821

Léon XII, Lettre apostolique Quo graviora, 1826

Pie VIII, Traditi,

Pie IX, Qui pluribus,

et Léon XIII, Humanum genus, 1884.

2. La représentation du peuple juif comme rebelle et subversif est très ancienne: la Synagogue talmudique était vue depuis toujours comme « fons persecutionum ». Deux éléments sous-tendent le concept de Révolution, tel qu’il fut précisé dans le Magistère ecclésiastique et dans l’apologétique contre-révolutionnaire. Joseph de Maistre a bien saisi la nature de la Révolution française. Il l’a définie « Satanique dans son essence, satanique parce que rebelle à l’autorité, c’est-à-dire à Dieu » (Considérations sur la France). L’unique alternative possible, pour Maistre, est donc la Papauté : si « la Révolution est l’erreur », si elle « est satanique dans son essence », elle « ne peut donc être tuée que par la Papauté, qui est la vérité, puisqu’elle est le Christ en terre » (Du Pape). Il faut donc réunir à nouveau l’Eglise et l’Etat, le trône et l’autel, pour réédifier la cité catholique.

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