Le communisme et l’athéisme sont d’origine juive kabbaliste

Cabale

Marcel Clément a qualifié de conception antitrinitaire la lutte des classes. (…) Il est dommage qu’il n’ait pas poussé plus loin l’analyse de la dialectique marxiste dans son caractère antitrinitaire. Il aurait alors remonté jusqu’aux sectes judéo-maçonniques et, plus haut encore, à la cabale qui, par une subversion inouïe, place en Dieu même la contradiction.

1- Dieu, en dernière analyse, est un néant qui sort du néant.

2- Le néant, par évolution, devient le monde et l’homme.

3- Dieu fabrique le monde par un acte sexuel.

4- Le mal est en Dieu et le mal du monde a une origine divine.

5- Dieu, parfaitement accompli et réalisé, atteint son apogée dans l’homme de l’Humanité.

L’abbé Julio Meinvielle (De la Cabale au progressisme) explicite ainsi cette contradiction qui serait en Dieu même :

« Le Dieu évolutif renferme cette contradiction essentielle de la cabale et des systèmes gnostiques que le « plus » sort du « moins ». Dans l’absolu, le plus ne peut pas sortir du moins (…). Là s’enracine la contradiction essentielle d’un Dieu qui se fait peu à peu, dans la cabale comme dans les systèmes gnostiques. Un Dieu qui se fait est un Dieu qui acquiert des perfections qu’il n’avait pas et qui sortent donc du néant. Dans ce cas, l’être sort du néant. Le Néant est égal à l’Etre. Le principe ontologique et logique de non-contradiction est tout simplement nié. »

Le Sel de la Terre n°53 (2005) – p. 363

Source

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